Samuel a cofondé le cabinet Majuscule Avocats, avec la volonté de proposer un accompagnement fiscal personnalisé aux clients du cabinet grâce à ses qualités d’écoute et de rigueur.
EXPERTISE DÉDIÉESamuel a commencé sa carrière en 2012 chez Deloitte Avocats (ex Taj) dans le département Global Employer Services. Il a ensuite rejoint l’équipe de fiscalité personnelle internationale de DJP Avocats (membre du réseau BDO) puis celle de Bornhauser, où il a accompagné à la fois des entreprises sur leurs stratégies de mobilité internationale et des clients privés sur la structuration et la transmission de leur patrimoine.
Avant de co-fonder le cabinet Majuscule Avocats, Samuel a participé à l’ouverture et au développement du bureau parisien du cabinet LCE Avocats et a définitivement acquis le goût de l’entreprenariat.
Cette expérience lui a apporté la conviction de la nécessité d’apporter des réponses concrètes et adaptées aux besoins des clients. Cela passe par le besoin d’une compréhension fine de la situation des clients et de l’environnement fiscal dans lequel ils seront amenés à évoluer, tant en France qu’à l’étranger.
Avocat au Barreau de Paris depuis 2016, Samuel est diplômé de l’Université Paris V Descartes (Master 2 Juriste fiscaliste, 2011). Il travaille en français et en anglais.
Du fait d’une augmentation constante du recrutement de collaborateurs étrangers, il a d’abord été nécessaire de former les équipes des ressources humaines sur les sujets de politique de mobilité internationale, de package de rémunération et du régime des impatriés pour leur permettre d’avoir une bonne compréhension des enjeux auxquels ils allaient être confrontés.
Il en a découlé la mise en place d’un accompagnement fiscal des collaborateurs arrivant en France, qui comprend notamment la tenue d’un entretien fiscal d’arrivée en France pour chaque nouvel arrivant ainsi que la préparation des déclarations annuelles de revenus.
Des demandes plus ponctuelles de calcul de package de rémunération ou d’analyse de résidence fiscale interviennent également.
Une grande tante vivant aux Etats-Unis, sans héritier direct, avait constitué des Trusts au bénéfice de sa famille lointaine vivant en France dans le but de lui transmettre l’intégralité de son patrimoine d’un montant d’environ 50 M$.
Les bénéficiaires français n’étant pas informés de l’existence de ces Trusts, et le trustee n’étant pas au fait des obligations déclaratives en France, aucune déclaration n’avait été souscrite depuis 2011.
Au décès de la constituante, il a donc fallu déposer des déclarations de Trust pour régulariser la situation avant la transmission effective des actifs étrangers, sous peine d’une amende globale estimée à environ 2 M€.